Posté le Mercredi 31 décembre 2008
Elles tuent là où elles sont utilisées,mais elles font marcher l’économie là où elles sont produites.
Un commerce de la mort disent certains.
Dérives, trafics, exactions, enfants soldats, sentiment de puissance…
Parce que l’arme rend l’Homme faible fort,
Parce qu’elle procure du pouvoir.
Elle permet de violer, de torturer, d’assouvir une haine sous-humaine nourrie de frustrations et de propagande idéologique…
Et la vie s’arrête là, un jour, pour des millions d’innocents, fuyant la folie humaine armée.
Migrations, réfugiés, déplacés… La vie est tout autre ailleurs.
Mais supprimer ce commerce abîmerait notre économie.
Une si bonne excuse…
Excellents bouquins.
Armes légères: Syndrome d’un monde en crise. L’harmattan.
Allah n’est pas obligé: de Amadou Kourouma. Un enfant soldat nous raconte, on l’entend, il parle avec ses mots et ses gros mots, il est attendrissant et effrayant. Il est un enfant soldat, autre victime de la folie humaine armée.